Alexandre LE NOURS :
interprétation, improvisation

CV

À 7 ans, je voulais être pâtissier ou cascadeur. À 12 ans, je voulais être célèbre. À 15 ans, j’étais Champion de France d’improvisation. À 17 ans, et devant mon insistance, mes parents m’ont dit : « D’accord pour que tu sois comédien mais travaille beaucoup, sois sérieux et n’abandonne jamais. » À 18 ans, je suis rentré au Conservatoire National d’art dramatique de Tours (professeurs Monique Fabre puis Philippe Lebas). À 22 ans, je suis parti vivre à Cannes après avoir été admis à l’Ecole Régionale d’Acteurs de Cannes (promotion 10 _ 1999-2002), puis à Marseille après en être sorti.

De mes 25 ans à mes 35 ans, j’ai répété, joué et tourné avec deux compagnies : 8 créations avec Théâtre à Cru (Alexis Armengol) et 2 créations avec Lackaal Duckric (Françoiz Bouvard). J’ai néanmoins eu le temps d’explorer le travail de Jean-Pierre Vincent (« Les Prétendants » de JL. Lagarce et « Pancomedia » de B. Strauss), Mathilde Monnier (« Sursauts »), Delphine Eliet (nombreux stages sur l’autonomie de l’acteur), Arnaud Pirault (« Partage de midi » de P. Claudel et « The Playground ») et l’IRMAR (« Du caractère relatif… »).

À 28 ans, j’ai crée L’Employeur, à Marseille, avec Stéphane Gasc et Edith Mérieau. Ensemble nous avons crée 3 spectacles (« Atteintes à sa vie » de M. Crimp, « Aux prises avec la vie courante » de E. Savitskaya, « Le temps nous manquera » de S. Gasc). À 30 ans, j’ai rencontré Pep Garrigues et je suis parti vivre à Paris. À 36 ans, j’ai été engagé par David Gauchard (« Ekaterina Ivanovna » de L. Andreiev) puis Julien Bonnet (« Le nez dans la serrure ») puis Charles-Eric Petit (« Notre songe » de C-E Petit). De mes 38 à mes 41 ans, j’ai joué dans trois mises en scène d’Aurélie Van Den Daele : « Angels in America » de Tony Kushner puis dans « Contes d’Ovide » de Ted Hughes et dans « L’absence de guerre » de David Hare.

À 43 ans, j’ai retrouvé Alexis Armengol dans « Vu d’ici » puis David Gauchard dans « Nu ». À 44 ans, je travaille pour la première fois avec Antoine Defoort dans « Elles vivent». Je fais des tartes Tatin sublimes mais je n’ai toujours pas appris à chuter dans un escalier.

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